Rebienvenue donc pour la suite de Alien. On va donc parler
du deuxième opus réalisé par James Cameron.
Aliens (oui avec un s, alien II c’est tellement surfait) de James Cameron (1986)
Avec : Sigourney Weaver, Michael Biehn, Lance
Henriksen….
Synopsis : Après avoir errer dans le vide intersidéral
a bord de la capsule du Nostromo, Ripley est récupéré par la corporation
Weyland – Yutani. Elle découvre en se réveillant de l’hypersommeil, que ça fait
57 ans qu’elle a quitté le Nostromo et que la planète de l’Alien sert
aujourd’hui de base de « terraformage ». Personne ne croit alors a
son histoire de Xénomorphe, jusqu’au jour ou la planète ne donne plus signe de
vie. Ripley accepte alors de rejoindre une escouade de marines pour une mission
de sauvetage.
Nous revoilà donc plongé dans les
aventures de Ripley au pays des Aliens, ça ne fait même pas une semaine que
j’ai vu le premier, il est encore donc assez frais dans ma tête. Je peux donc
comparer les deux visions, et le peu que l’on puisse dire c’est qu’il y a de
quoi. Alors que le premier est un huis-clos avec une seule bestiole, celui là
se déroule dans un monde plus ouvert et pas qu’une bestiole, puisque comme on
est sur la planète natale, forcément on a un peu toute la colonie aux
fesses.
Ensuite, on voit tout de suite la
patte Cameron, Le dernier que j’ai vu de lui est bien sur Avatar, et c’est con,
mais y’a des ressemblances. De toute façon, Cameron si y’a pas des robots et
des Marins sûrs d’eux qui ne pensent qu’à dégommer du monstre, il est pas
content. (de… quoi ? Titanic ? Bah y’a un robot dans Titanic XD) Donc
on a des robots (les mêmes que dans Avatar :p) et des Marins caricaturaux
que tu sais dès le début du film qu’ils verront sans doute pas la fin.
Cependant, on avance encore dans
l’évolution de Ripley et notre apprentissage Alien. Ripley, qui évolue beaucoup
pendant ce film passant de celle qui fuit à celle qui affronte droit dans les
yeux ce monstre (qui n’en a pas d’ailleurs), elle prend de l’assurance et on
est avec elle. Quand à l’Alien, l’intérêt d’être au sein de la colonie nous
fait comprendre son mode social et en apprendre un peu plus sur son mode de
reproduction.
En fin de compte, ce deuxième est
beaucoup plus spectaculaire et Hollywoodien que le premier Mais il amène
également un nouvel aspect et une nouvelle vision de l’Alien et de Helen Ripley
qui n’a décidément pas de bol.
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