14/02/2017

Amour, amour, je t'aime tant, je t'aime tant.....


Oui, on commence cet article de circonstance avec un peu d'inceste. XD
Bref, en ce jour de 14 février, j'ai décidé de faire ma vieille aigrie ou peut-être de recentrer le débat c'est vous qui voyez.
Déjà on va remettre les choses dans leur contexte, la Saint-Valentin quécésé à part de hommes qui se ruent chez le fleuriste du coin pour acheter des roses rouges (oui, rouges... pas les jaunes ! pas les jauuuunes !) ou un bijou et en espérant que madame aura faire l'effort de quitter son pyj' du dimanche pour un joli déshabillé. (ou qu'elle leur offrira le loisir de regarder le foot... ).

Ooooh Cherii mais quel bonne idée, je n'avais rien pour ce soir !







Bon, je croyais tomber sur un histoire abracadabrantesque (comme ce mot) comme cette histoire de fouettage de la Rome antique qui était censé t'apporter fécondité mais à croire que Saint Valentin n'était pas un gros rigolo, a part être martyr et marier des soldats il a pas fait grand chose. Et le 14 février ce serait juste une histoire d'oiseaux qui font leurs chansons sur printemps.


Bref, je voulais surtout profiter de ce jour ou l'amour est à tous les coins de rues. Comme si on avait besoin d'un jour particulier pour se faire des petites attentions... En plus, perso, je préfère nettement les petites attentions au achats en tout genre... Surtout les fleurs, j'ai l'impression que c'est un peu le cadeau de dernier minutes de "j'ai pas d'idées, chérie" ou "je savais pas quoi prendre Chérie".  Enfin, je ne suis pas contre les fleurs (mais je n'ai absolument pas la main verte, donc les pauvres fleurs, elles crèveront direct) mais c'est pas plus sympa des fleurs un soir juste comme ça ?

Quoi qu'il en soit (pour arrêter avec mes bref XD), je pense que le plus important c'est de se souvenir que ce jour est le jour de l'amour et surtout aujourd'hui, il faut d'abord se rappeler que la première personne à qui on doit un amour inconditionnel c'est soi-même.

Car oui, j'ai longtemps et même encore maintenant eu du mal à m'accepter comme je suis, et à m'aimer pour ce que je suis... Et je ne dois pas attendre des autres qu'ils comblent mon propre mal-aime. Je vois souvent des expressions ou des citations sur l'amour ou l'autre doit être attentif, ou il devrait tout quitter pour l'autre, ou il devrait changer.... Mais l'amour c'est pas faire de l'autre l'idéal qu'on espère de lui, c'est le prendre (je ne sais pas si c'est le bon mot XD) comme il est, et l'aimer pour ce qu'il est... Mais si tu ne t'aimes pas toi-même comment peut-tu demander aux autres de t'aimer ?



J'ai lu un livre il n'y a pas longtemps de Jacques Salomé : le courage d'être soi. J'ai bien aimé ce livre parce qu'il rappelle surtout qu'il n'y a pas de moment pour enfin oser être soi-même et que lui-même a mis beaucoup de temps à enfin oser être lui. Il y a quelque chose qui m'a marqué dans ce livre, c'est les composantes négatives. Il en parle au tout début du livre, et il dit qu'on a tous une composante négative dominante et que c'est une étape importante dans la connaissance de soi et donc l'amour de soi et que quand on la connait, ce n'est pas forcément négatif, cela dépend de comment elle s'exprime. J'ai eu du mal à trouver la mienne (et c'est pas faute de me voir négativement :p) mais je crois surtout que je ne l'acceptais pas parce que ça me paraissait aux antipodes de ce que je suis. Mais finalement pas tant que ça... Bref, c’était la composante narcissique : donc oui, je ne comprenais pas, je suis loin d'être narcissique, je suis plutôt centré vers les autres. Mais justement, c'était la composante qui me ressemblait le plus, car le narcissisme ce n'est pas l’égoïsme c'est aussi la reconnaissance des autres. Et ça, j'en suis toujours à la recherche. XD

Comme je l'ai dit plus haut, ayant moi-même un fort déficit en ma propre estime, j'essaye de la trouver chez les autres, d'être utile, d'avoir une reconnaissance. Je ne fais pas du travail social pour rien. Et mine de rien, ce travail m'a fortement aidée.

Ce livre, il est vraiment intéressant comme première approche quand on est à la recherche du bonheur ou qu'on est un peu, comme moi, dans une période de doute ou de "mais qu'est ce que je fous là ?". Mais du coup, ça m'a aussi conforté dans ce que je pensais déjà.

En pyscho pendant mes études, on avait étudier l'estime de soi et on avait dit qu'il y avait trois composantes : l'amour de soi, la vision de soi et l'estime de soi. Et dernièrement, j'ai eu une autre vision comme quoi, on avait trois personnes en nous : celle qu'on est, celle qu'on envoit aux autres et celles que les autres nous renvoient et qu'on est en accord avec soi-même quand ces trois personnalités sont à peu près concordantes.  J'aime bien ces deux théories ; je trouve qu'elle sont assez complémentaires.  En ce moment, je suis surtout en train de me demander si ces trois moi sont vraiment en accord... J'essaye juste de faire que la vraie moi, soit celle que je renvoie aux autres.... Mais ça, ça demande de briser certains murs que j'ai bâti pendant toute mon adolescence et un peu après pour justement anticipé la troisième composante et faire que les gens m'aiment... Mais mon mur est tout pourri puisque l'image que m'ont renvoyé les autres (enfin certaines personnes) n'est pas en accord avec ce que je suis et même pire, je n'aimais pas cette personne qu'ils croyaient que j'étais.... Ce sont souvent des personnes qui ne me connaissent pas beaucoup, ou devant qui je me suis mis beaucoup trop de pression (aah, la peur de ne pas être à la hauteur...).

Après je vous vois venir "ouiii, mais c'est normal ça, on est tous un peu timide au début et après ça va mieux"... Oui, enfin ça dépend pour qui. XD Je ne sais pas pourquoi, des fois, je me déride, j'arrive à être moi et des fois, j'ai l'impression que j'ai dépassé le point de non retour et que si je commence à changer, les gens vont pas comprendre.


Tout ça, c'est une histoire de s'assumer tel qu'on est. Et je devrais pourtant, parce qu'après tout, je sais que je suis appréciée tel que je suis. J'arrive à être en accord avec celle que je suis vraiment, avec les gens qui me sont proches ou que je côtoie depuis pas mal de temps.  Mais comme je l'ai dit, les murs sont durs à abattre, et c'est bête d'en arriver à être obligée de lutter pour faire sortir la vraie personne qu'on est.  

Après, je vois bien que j'ai évoluée.... Je m'aime plus aujourd'hui qu'il y a 10 ans. L'autre jour, j'ai retrouvé des mensurations que j'avais prises quand j'ai commencé à coudre et mon poids... Et ben, ça allait pas dans le bon sens... XD Et pourtant, mon sentiment était différent, je me vois plus fine qu'à l'époque. Donc ça veut juste dire que je préfère mon corps aujourd'hui qu'il y a 10 ans, malgré la prise de poids. :p Bon, je vais pas dire que je me trouve jolie, on en est pas là. XD Enfin, comme touuutes les femmes, j'ai des complexes. Mais j'assume mon corps plus qu'avant, j'ose les jupes plus courtes. Bon, les décolletés, j'ai du mal.
On en est pas au vulgaire, hein...

D'ailleurs, vous avez remarqué que ce n'est qu'une question de centimètres entre le sexy et le vulgaire. Et que c'est rigolo comme le vulgaire ne s'applique pas aux hommes. *Attention propos feministes... enfin égalistes* Une femme vulgaire, on sait tous comme la décrire physiquement : dès que c'est un peu trop court, trop decolleté, c'est vulgaire. Mais pour un homme, c'est quoi être vulgaire ? Par exemple, la taille du short du gars ne le rendra pas vulgaire... Il sera juste ringard. XD Tiens cet été, j'ai vu des jeunes se balader torse nus en ville. Moi, j'ai trouvé ça indécent... Indécent, pas vulgaire. J'me suis juste dit que c'est pas parce qu'il fait 30°C dehors qu'il devait se trimbaler à moitié à poil, alors que moi j'ai pas le droit. =D Bon, ok, techniquement, il a pas le droit. Mais lui, on viendra pas lui envoyer des petits blagues salaces ou on viendra pas lui dire que c'est qu'un petit allumeur. :p Mais ceci est un autre débat, recentrons-nous sur le sujet. XD


Donc, j'évolue et là je pense que je suis dans la bonne direction, après j'avancerai à l'allure ou j'avancerai, je sais que ce ne sera pas facile tous les jours, qu'il y a des jours ou ce sera plus dur que d'autres, qu'il y a des sois ou je me dirais que je suis la plus nulle de tout ce qui peut exister et que je pourrais disparaître là tout de suite et tout le monde s'en ficherait. Mais qu'il y a d'autres soirs ou je serais fière de ce que j'aurais accomplie, que j'aurais reçu des marques d'amour et d'affections de gens que j'aime et que là, là, je serais heureuse d'être celle que je suis.  Je pense que je m’apprécie maintenant, la prochaine étape c'est de s'assumer et de ne pas laisser les autres décider de qui je dois être. (ou du moins de ne pas devenir celle que je crois qu'ils veulent que je sois... vous me suivez ? XD)

Quelqu'un a dit un jour que pour avoir des arcs-en-ciel, il fallait de la pluie et du soleil. Alors j'accueille volontiers le soleil mais il ne faut pas avoir peur de la pluie, c'est elle qui fait germer les petites graines de courage l'on porte en soi.

Bien chaleureusement !


05/02/2017

Kimi no na wa - Comment tu t'appelles déjà ? et autres élucubrations.

Je reviens du cinéma ou je suis allée voir Your name. C'est un film d'animation japonaise sortie fin décembre 2016.

Comme je vis dans un trou paumé. (je pensais pas pourtant :p), et que je ne pensais pas non plus que les films d'animation japonais n'étaient pas encore considérés comme des Blockbusters, j'ai du aller dans un cinéma d'art et essai pour aller voir le film. J'ai donc pris ma petite voiture un dimanche matin pour aller voir la séance de 11h. (Radineriiiiiie !!). Bon, du coup je l'ai vu en VF.


Your name 
(Pourquoi nous filer un titre à l'anglaise ? Soit tu gardes le titre en japonais, soit tu mets du Français... :p) 
Réalisateur : Makoto Shinkai 


Je n'ai pas trop envie de faire un synopsis, je ne sais pas non plus encore si j'arriverais à parler du film sans spoiler mais on verra bien. XD
Alors, je ne connaissais pas Makoto Shinkai, je n'ai pas vu ses autres films, même si j'en ai entendu parler (5 cm par seconde par exemple), je découvre donc avec Your name, un (nouveau) nom du film d'animation japonais.

Et c'est pas mal du tout ! Le film se déroule en plusieurs arcs. J'ai essayé d'y aller en étant le plus vierge possible.... :p Je n'ai vu ni de bande-annonce, ni de teaser, et c'est en cherchant une séance que j'ai lu le synopsis, mais je voulais le voir juste parce que c'était un film d'animation et qu'on en a quand même pas mal entendu parler et que ça sentait bon l'eau de rose. XD Donc je n'avais comme simple indication que cet histoire d'échange de corps. Qui finalement n'est pas le point central du film (d'ou les plusieurs arcs... Ca y est, ça c'est du spoil déjà non ? XD)

On y retrouve les thèmes chers aux japonais, les histoires de destinées, l'évolution du Japon qui veut aussi garder son histoire et ses traditions (même si j'ai trouvé ça assez subtil).

J'ai trouvé la VF bien faite, même si j'ai un peu tiqué sur quelques répliques qui ne correspondaient pas à la tête du perso, mais dans l’ensemble, elle retranscrit bien l'atmosphère du film.

Je n'ai pas pleuré ! Ce qui est un exploit, je m'attendais à verser une ou deux petites larmes et même si elles n'étaient pas loin, elles ne sont pas sortis. Je pense que c'est parce que l'histoire est quand même pas mal téléphoné. Je me suis attendue à ce dénouement. Ça ne m'a pas empêché de sortir de la salle avec ce petit sentiment de nostalgie ou de tristesse et d'avoir le cœur serré et un peu molletonneux. (oui, molletonneux... Vous savez, ce Oooooooooh, mais c'est trop mignou, croquinou....). Mais je pense aussi que le héros n'est pas non plus triste, certes il pleure, mais il y croit donc nous aussi on y croit.
Bref, j'aime ce genre de film, j'y cours à chaque fois parce que je trouve que les films d'animation ont le chic pour raconter des histoires d'amour qui nous transportent et qui me renvoie une vision de l'amour que j'aime bien.

Attention, alerte Digression ! 

Dans les Disney, les histoires de princesse on les connait bien, c'est quasiment acquis, elle se marie avec un prince, qu'elle ne connait ni d'Eve, ni d'Adam, que nous spectateurs, on ne connait pas non plus (on a de la chance qu'il ait un nom....) et ils vécurent heureux bla, bla, bla... L'histoire c'est surtout, comment elle va faire pour pécho du prince cette gourdasse ? Mais elle est jolie alors le prince, il tombe amoureux et ils se marièrent bla bla bla... ça a un peu évolué avec la Reine des Neiges et l'histoire d'Ana mais on reste dans le conte de fées. (alors je dénigre, je dénigre mais j'aime les Disneys hein. XD)

Dans les films japonais, on est plus sur une histoire de destinée, de fil rouge. On le retrouve là assez visible d'ailleurs le fil rouge... Pour ceux qui ne savent pas ce que c'est le fil rouge (et donc qui n'ont pas lu NANA, honte à vous.) Le fil rouge, ce serait un fil qui unirait deux âmes sœurs, deux personnes qui sont destinées l'une à l'autre, destinés à s'aimer malgré la distance ou tout ce qui pourrait les séparer. (Houuuuu, vous le sentez votre petit cœur de midinette qui palpite ?). Bref, c'est une légende d'Asie centrale et c'est assez présent dans les histoires d'amour japonaises. On y retrouve souvent deux personnes qui n'ont pas grand chose en commun et qui malgré les différences (ou la distance, comme ici), finissent par se retrouver, et ce, complètement par hasard.

Alors ouiiii, je vous vois venir, "mais c'est pareil que dans les contes, ils se connaissent pas, ils s'aiment quand même et ils finissent heureux pour toujours". Et vous n'avez pas tort, mais je trouve que c'est souvent plus touchant dans les animés car infiniment plus compliqué ! Dans les contes de fées à l'occidental, il n'y a pas de challenge je trouve, pas de rebondissements, pas de séparation... Y'a un film qui reprend un conte et que j'ai bien aimé parce que justement on retrouvait ce challenge, c'est "A tout jamais, une histoire de Cendrillon". Parce qu'elle rencontre le prince, mais elle sait pas que c'est le prince et ils apprennent à se connaitre et ouuuuuh, à la fin, elle comprend que c'est le prince ! Bref, un truc un peu plus réaliste.

Bref, dans les animés, y'a cette évolution du couple au delà de la destinée. Dans Your name c'est pareil, ils se retrouvent liés mais ils apprennent à se connaitre petit à petit et ils tombent amoureux (enfin je crois XD), et malgré ce qui les sépare, ils se retrouvent. Et ce que j'aime bien aussi, c'est que c'est toujours subtil, j'ai toujours l'impression que les japonais laissent beaucoup plus parler les sentiments. A chaque fois, j'ai mon petit cœur de midinette qui s'emballe alors qu'ils font que se regarder ou même qu'ils font rien mais tu sens qu'il se passe quelque chose.
Je prends comme exemple mon Ghibli préférée, qui a une place particulière dans mon cœur : Mononoké Hime. (Ouiii, c'est mon préférée, c'est le premier que j'ai vu et je l'aime d'amour). Bref, l'histoire en Mononoké et Ashitaka, elle est pas trop magnifique ? Et pourtant, elle est, on ne peut plus subtil. Elle n'est jamais vraiment explicite, ils ne sont pas ensemble à la fin mais bon, c'est juste une histoire de fil rouuuge !!
Dans presque tous les Miyazaki, de toute façon, il y a une histoire d'amour (en tous les cas, à chaque fois qu'il met une héroïne, il y a un garçon. :p), et ce que j'aime bien, c'est que ça ne fait pas du film une histoire d'amour et que le love interest, même si je sais pas si je peux l’appeler comme ça, parce qu'il est pas là pour être le love interest, il a un vrai rôle à chaque fois... pas comme dans les contes de fées, ou il sert juste à sauver la greluche qu'est pas foutu de se démerder toute seule ou il fait déco et elle se marie à la fin. Bref, le personnage masculin, il est soit là pour accompagner l’héroïne vers sa destinée (ils sont souvent au même niveau... comme dans Ponyo), soit pour qu'elle le sauve (Ouiiii, dans Chihiro c'est la fille qui sauve le garçon, si c'est pas beau ça ? ou dans le château ambulant.). Bref, on est dans des vrais relations équitables et d'entraide.

Dans La traversée du temps, c'est également assez flagrant l'expression du sentiment amoureux (là, j'ai pleuré, trop duuur !). Après dans la traversée du temps, il y a une séparation qui accentue encore plus ces sentiments amoureux. Le manque est toujours bien retranscrit. C'est rigolo que les japonais ne sont pas très à l'aise avec l'expression physique des sentiments amoureux (on les voit très peu, voire pas du tout s'embrasser, on a souvent le droit à un câlin tout au plus), mais pour exprimer la tristesse, là y'a du monde. :p (et avec moi ça marche à chaque fois, j'ai un cœur d’artichaut).


D'ailleurs pour en revenir aux contes de fées, que je suis méchante avec eux depuis le début (tu le sens le parti-pris ?) alors qu'en fait, je suis une droguée de Disney et que j'ai un peu tout vu. Bref, on dit souvent que les contes de fées sont misogynes parce que la princesse, elle est un peu pas très intelligente et qu'elle attend juste que le prince, il vienne la bai.... euh l'embrasser sur son lit de mo... euh de son sommeil de 100 piges parce que cette gourdasse, elle s'est piquée, (ou elle a bouffé une pomme au choix). Mais on est bien d'accord que les hommes, ils sont pas non plus au summum de leur sex-appeal. Enfin, j'veux dire entre, Celui de Blanche-Neige, qui rappelons-le, n'a même pas le droit d'avoir de prénom, et qui se retrouve avec elle, juste parce qu'il passait par là, et qui se dit "ah, bah elle est pas mal, je prends !". Celui de Cendrillon qu'est pas foutu de reconnaître Cendrillon sans sa robe de bal (Syndrome Clark Kent, bonjour !) et qu'est obligée d'utiliser une godasse (heureusement que Cendrillon, elle fait du 36 hein. XD). Celui de la belle au bois dormant, qui... bah lui aussi, passait par là, et qui s'est dit que ce serait quand même plus simple de pécho une endormie, qu'une vivante (et je ne vous raconte pas le vrai conte, là on est bien dans le condamné à perpet'). Eric (mon préféré XD) qui, non content de presque tombé amoureux d'Ariel, la plante parce qu'elle est muette et qu'il préféré finir sa vie avec sa soi-disant sauveuse. (donc, on est bien d'accord pour une parfaite inconnue qui l'a trouvé sur la plage et qui l'a planté juste après). Et la bête.... ah bah non, là on est pas trop mal, Belle, elle est pas que belle, et la bête bah il est pas bête, et il est pas si con, l'homme dans celui-là il en prend pour son grade avec Gaston. XD

Bref, la morale de cette histoire c'est que dans les contes de fées, tout le monde est con, c'est pour ça qu'ils vont bien ensemble. XD

Sur ce, j'en ai fini avec mon article qui a, un peu (beaucoup), digressé. Tout ça pour dire que j'ai beaucoup aimé Your name et que j'ai juste envie de revoir la traversée du temps pour le coup. :p

Tcho !