31/05/2012

Alien - Quadrilogy (II)


Rebienvenue donc pour la suite de Alien. On va donc parler du deuxième opus réalisé par James Cameron. 

 
Aliens (oui avec un s, alien II c’est tellement surfait) de James Cameron (1986)

    
Avec : Sigourney Weaver, Michael Biehn, Lance Henriksen…
Synopsis : Après avoir errer dans le vide intersidéral a bord de la capsule du Nostromo, Ripley est récupéré par la corporation Weyland – Yutani. Elle découvre en se réveillant de l’hypersommeil, que ça fait 57 ans qu’elle a quitté le Nostromo et que la planète de l’Alien sert aujourd’hui de base de « terraformage ». Personne ne croit alors a son histoire de Xénomorphe, jusqu’au jour ou la planète ne donne plus signe de vie. Ripley accepte alors de rejoindre une escouade de marines pour une mission de sauvetage.

Nous revoilà donc plongé dans les aventures de Ripley au pays des Aliens, ça ne fait même pas une semaine que j’ai vu le premier, il est encore donc assez frais dans ma tête. Je peux donc comparer les deux visions, et le peu que l’on puisse dire c’est qu’il y a de quoi. Alors que le premier est un huis-clos avec une seule bestiole, celui là se déroule dans un monde plus ouvert et pas qu’une bestiole, puisque comme on est sur la planète natale, forcément on a un peu toute la colonie aux fesses. 
Ensuite, on voit tout de suite la patte Cameron, Le dernier que j’ai vu de lui est bien sur Avatar, et c’est con, mais y’a des ressemblances. De toute façon, Cameron si y’a pas des robots et des Marins sûrs d’eux qui ne pensent qu’à dégommer du monstre, il est pas content. (de… quoi ? Titanic ? Bah y’a un robot dans Titanic XD) Donc on a des robots (les mêmes que dans Avatar :p) et des Marins caricaturaux que tu sais dès le début du film qu’ils verront sans doute pas la fin.
Cependant, on avance encore dans l’évolution de Ripley et notre apprentissage Alien. Ripley, qui évolue beaucoup pendant ce film passant de celle qui fuit à celle qui affronte droit dans les yeux ce monstre (qui n’en a pas d’ailleurs), elle prend de l’assurance et on est avec elle. Quand à l’Alien, l’intérêt d’être au sein de la colonie nous fait comprendre son mode social et en apprendre un peu plus sur son mode de reproduction.
En fin de compte, ce deuxième est beaucoup plus spectaculaire et Hollywoodien que le premier Mais il amène également un nouvel aspect et une nouvelle vision de l’Alien et de Helen Ripley qui n’a décidément pas de bol.

24/05/2012

Alien - Quadrilogy

 
A l’occasion de la sortie de la préquelle d’Alien : Prométheus, au cinéma et surtout suite aux assauts répétés de mon compagnon de m’initier à cette saga culte, j’ai enfin pris mon courage à deux mains et regardé Alien.

Alors pourquoi tant de réticences ? Et bien tout simplement parce que je suis une trouillarde ! Et que je déteste avoir peur donc je déteste les films d’horreur. Donc, à la base, hors de question de jeter ne serait-ce qu’un coup d’œil à cette histoire de monstre qui risque de t’attaquer dans le noir. Mais bon, mon copain étant un grand amateur du genre et me soutenant mordicus que « mais non, Alien ça fait pas peuuuur ! », nous nous sommes donc installés confortablement, avons éteints les lumières et appuyer sur lecture. (Oui, parce que si on est pas dans l’ambiance, c’est pas drôle. :p) 

 Alien : le huitième passager de Ridley Scott. (1979)


Avec : Sigourney Weaver, Tom Skeritt, Veronica Cartwright….

Synopsis : Le vaisseau commercial Nostromo avec à son bord 7 hommes et femmes, rentrent sur Terre avec une importante cargaison. Mais sur le voyage, Mother (le tableau de bord) les sort de leur hypersommeil car elle reçoit une transmission inconnue. L’équipage décide d’aller explorer la planète d’où provient la transmission et lors de celle-ci l’un des officiers se fait attaquer par une espèce de bestiole qui lui étouffe le visage. Il est ramené au vaisseau dans un coma…

Pour commencer, Mais pourquoi classer ça dans horreur, épouvante ? Ca ne fait pas peur du tout ! Enfin, Alien est sans conteste de la science fiction. Okay, il y a un monstre pas joli joli qui en veut à tous les passagers mais les plans sont faits de telle manière que jamais on ne sursaute ou on est pris dans une angoisse quelconque. Au contraire, tout est dans l’esthétique de l’Alien, sa façon de s’enrouler, on ne le voit qu’en demi obscurité, jamais complètement, il se devine plus qu’il ne se voit et c’est ça qui donne tout son charme au film. On est donc plongé dans une ambiance glauque, un huit clos à peine angoissant (oui, à peine quand même) et la même envie que Ripley de vouloir lui échapper. Tout en étant fasciné par ce monstre désormais culte.
Car oui, forcément, la réputation de ce film le précède, je savais donc un peu à quoi m’en tenir, savait à quoi ce monstre ressemblait et connaissait également la non moins culte Ripley, monument à elle seule de la femme dans la science fiction. Car oui, Ripley, elle est trop cool ! Jouée par Sigourney Weaver, qui a été choisi pour son aspect un peu androgyne, elle incarne la sceptique au départ, puis celle qui finalement avait tout compris depuis le début (mais ouuiii, il faut écouter Ripleeey !) Et c’est tout l’intérêt de suivre ce film (et par extension la saga) c’est de voir aussi toute son évolution.
Enfin, j’avoue également que j’ai été très intriguée par l’Alien en lui-même. Déjà, applaudissons l’œuvre de Mr Giger qui nous a quand même pondu (c’est le cas de le dire =D) LE monstre. Et là où c’est intéressant, c’est toute la compréhension de cette espèce.  Dans ce premier opus, on découvre son développement et on ne peut pas dire qu’il n’est pas original. :p  On commence par un sorte d’œuf qui ne se brise pas maos s’ouvre un peu comme une fleur et dont sort une espèce d’araignée beige avec une longue queue : le Face Hugger. Celui-ci tient son nom du fait qu’il aggripe le visage du premier être vivant qui passe pour lui implanter un œuf. (Et oui, on sert d’incubateur à Alien, cool ! =D), puis vient une forme embryonnaire de l’Alien avant son apothéose final.

J’en terminerai là avec le premier opus de cette saga, a bientôt pour le deuxième réalisé par le bien connu James Cameron.